Bonheur : la pluie et le beau temps

Dans ce 11ème épisode, on parle de la pluie et du beau temps ou comment nos relations, notre bonheur et pas mal toute la société est impactée du temps qu’il fait. Hélène reçoit Marie-Andrée Poulin, journaliste arts et spectacles pour TVA nouvelles et LCN qui a présenté la météo pendant plus d’une décennie à la télé québécoise.

 

Pour jaser de l’importance de la météo au Canada dans le ciel et dans la société, on reçoit Marie-Andrée Poulin. Maintenant journaliste arts et spectacles pour TVA nouvelles et LCN, elle a aussi présenté toutes les saisons à la télévision! Figure publique, je veux aussi voir avec elle quelle relation elle entretient avec son public, entre inspiration, modèle et vie privée et si c’est toujours ensoleillé pour elle! 

Partie 1 : Le temps qu'il fait dans le ciel et dans la société

  • La météo est réellement déterminante quand les températures sont aussi extrêmes 
  • La météo, un sujet consensuel facile pour créer des liens 
  • Les sujets récurrents, comment se renouveler pour en parler (première tempête de neige, grands froids, grosses chaleurs trucs et astuces, etc.)

Partie 2 : Exit la météo, bonjour le temps qu'il fait

  • À chaque saison ses joies : ses coups de cœur 
  • Le phénomène des snowbirds : une habitude sociale très nord-américaine que le télétravail va peut-être rajeunir
  • Les expressions toutes faites sur le temps font-elles du sens? 

Partie 3 : Faire la pluie et le beau temps

  • Confidences : comment Marie-Andrée cultive son bonheur au quotidien quand il fait un peu gris dans ses pensées ou que son agenda est très chargé mais que tout le monde la trouve pétillante? 

  • La relation avec le public : comment ça se passe? 

Je suis particulièrement contente d’avoir reçu Marie-Andrée pour parler du temps et de gens, parce que la météo c’est vraiment un sujet moins anodin qu’il n’y paraît et sous ses airs de thème superficiel se cache en fait une condition quasi sine qua non de liens sociaux, de l’organisation économique d’un pays et derrière cette apparente simplicité, il y a toujours « un petit coin de paradis sous un petit coin de parapluie », quelle que soit la saison, pour peu qu’on s’en réjouisse. 

RÉFÉRENCE : 

Olafur Elisasson et le “Weather Project” à la Tate Modern

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juillet 15, 2021 — Lebon Trait d'union

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